La mafia dans le monde | |||
| ProxénétismeDéfinition: Ce document nous montre Iceberg Slim et la couverture de son livre. Le proxénétisme est l'une des activités illicites principales de l' Organizatsiya (mafia russe) , de la mafia Albanaise et de la mafia Nigérienne. Généralités à propos de ce trafic: De nombreuses mafias ( triades chinoises, mafia nigérienne et russes...) sont accueillies dans un pays d'accueil pour exercer leur trafic d'être humain. Les femmes se font avoir par ces organisations criminelles. Ceux-ci promettent une vie meilleure avec un travail bien payé. Les femmes souvent en détresse, souffrant de la misère dans leur pays acceptent. Ces femmes sont donc des proies faciles pour les proxénètes. Elles ont la plupart du temps entre 25 et 44 ans, sont mariées et ont des enfants. En Afrique par exemple, la présence de ces mafias rapporteraient selon OIM ( Organisation Internationale pour les Migrants) plus de 100 000 euros par an. Pour retrouver leurs libertés les femmees vendues par les mafias nigériennes doivent souvent payer une somme exhorbitante environ 7000 euros. Pour les femmes de la mafia russe, la dette est fixée à 20 000 dollars mensuels. L'arrivée de ces femmes se déroulent de le manière suivante: Notons que les "maquerelles" de certaines mafias contrôlent le "tourisme sexuel". Ainsi, certains enfants venant essentiellement de la mafia nigérienne et de la mafia russe sont ramenés en Europe et figure sur des vidéos pornographiques qui circulent dans les réseaux pédophiles. Les mafias et le proxénétisme: 1) la mafia Albanaise La mafia Albanaise est l'une des plus cruelle en ce qui concerne la traite des femmes et parfois même des enfants. Elle contrôlerait près de 75% du trafic à Soho, à Londres. Rien que pour Soho, le chiffre d'affaire de la mafia Albanaise avec ce commerce est de plus de 18 millions d'euros par an (selon la police britannique). Les villes d' Europe Occidentale sont les premières destinations du trafic des femmes car ces pays possédent des lieux spéciaux pour les prostituées. Ces nouveaux réseaux contrôlés par la mafia Albanaise sont d'une violence extrême: ainsi, les rares femmes qui ont pu parler décrivent une nouvelle forme d'esclavage. Selon elles il existeraient des camps de soumission où les femmes sont achetées et violées collectivement avant d'être acheminées vers les grandes villes européennes comme Paris, Londres, Belgique etc. Par exemple, en Belgique la moitié des prostituées serait de nationalité albanaise. 2) la mafia nigérienne La mafia nigérienne est présente dans le trafic des jeunes femmes. Elle collabore avec l'Afrique du Sud. Les femmes sont vendues en direction de l'Europe en passant par Johannesburg (ville d'Afrique du Sud). 3) La mafia Russe Le proxénétisme est une source importante de revenus pour cette mafia. La Russie n'hésite pas à aller recruter dans les quartiers les plus misérables afin d' aller trouver des jolies russes. La beauté des Russes est particulièrement recherchée par les occidentaux. Par exemple, en littérature il y a un ouvrage collectif qui nous parle de la traite des femmes (prostitutions, viols, coup et blessure...). Il s'agit du roman Prostitution au Luxembourg publié en 2003. Ce livre est assez boulversant car on nous dit ce qui se passe derrière les belles facettes du Luxembourg avec la présence des mafias russes.Ce roman nous montre un monde assez sombre et sordide.
| Il s'agit de la couverture du roman.Résumé de ce roman: De plus en plus souvent, le Grand-Duché de Luxembourg, à cause, essentiellement de faits de corruption est désigné comme l’une des plaques tournantes du proxénétisme et de la prostitution. Par ailleurs, la mafia russe le dispute à des tenanciers et agences étrangères qui pratiquent la traite des êtres humains d’une façon on ne peut plus visible. Personnellement j'ai lu un article datant de 31 Janvier 2008 paru dans le journal le Parisien . Cet article écrit par Pascale Egré est paru dans la rubrique Faits Divers. Donc c'est un phénomène de société assez grave. Cet article nous présente au total 30 femmes ( onze Roumaines, cinq Nigérianes, cinq Lituaniennes, quatre Bulgare, deux Albanises, une Moldave, une Ukrainienne, une Congonlaise et une Marocaine) issues du réseau. A travers ce document, l'on se rend compte que les réseaux (principalement les mafias) exploitent les femmes du monde entier. Eventuellement, lorque ces femmes sortent de ces réseaux, elles doivent se reconstruire ce qui n'est pas une mince affaire. Ce document nous présente une femme forcée de faire de la prostitution dans la rue et donner tout ou une partie de l'argent gagné aux proxénètes. Apparement un client semble s'approcher.
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